Les compagnons de Damballah             
                                                                                                                                                                                  Haïti
                          

Les compagnons de Damballah

L’aventure de Bob Morane se passe cette fois en Amérique Centrale, dans la mer des Caraïbes à ‘’ HAITI  ‘’
A peine débarqué à Port-au-Prince, Bob Morane c’était dirigé  à pied vers de Nord, dans le but d’atteindre par petites étapes et en suivant des chemins peu fréquentés, la vielle citée du Cap Haïtien, d’où il devait gagner ensuite l’ile de la Tortue, ancien repaire des flibustiers Français.

Haïti, officiellement la République d'Haïti, est un pays des Grandes Antilles occupant le tiers occidental de l'île d'Hispaniola ( 28 000 km² environ ). Sa capitale est Port-au-Prince.   '' Trafic aux Caraïbes '' une autre aventure à  HAITI

Dans cette aventure bob Morane ne pilote aucun avion, mais passager de deux avions différents.
Lors de son transfert de Cap Haïtien à Port-au-Prince à bord d’un avion militaire, un vieux Junker .
Un autre  avion qui fait une brève apparition, un avion de tourisme appartenant à l’ami de Morane, James Griffith .

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C’est avec l’aide de son ami Griffith, il fausse compagnie aux policiers qui le surveille, force un barrage de police et s'envole pour le nord du pays.
Ils survolent Damballah incendiée par les soldats.
Bob saute en parachute non loin de la forteresse du Roi Christophe ( du vrai nom Citadelle de la Ferrière ) pour rejoindre les conjurés.
Plus tard apparition de l’avion de Griffith , qui annonce aux conjurés la mort du dictateur.

                                                                                
                     Dino Attanasio                       dessin de couverture de Patrice Sanahujas                 Montage DanK

Les deux avions utilisé dans cette aventure, vu qu’aucune indication n’est donner par l’auteur ( Henri Vernes ) à part celui qui conduit Morane à Port-au-Prince , un vieux Junker ( un Junkers Ju 52 ) probablement, c' est également possible que le Junkers Ju 60 ou 160
mais le modèle était beaucoups moins courrant.
Pour l’avion militaire il pourrait s’agir du Junkers Ju 52 ce qui est possible vu la description ( Vieux Junker ) qui date de 1930  mais aussi le Junkers Ju 60 ou 160 vu que les pays d’Amérique Centrale ont un retard considérable au niveau du moderniste ( Automobiles et Avions )
Pour l’avion de tourisme Il pourrait donc s’agir pour l’époque  ( 1958 ) et l’utilisation de Griffith, d’un Piper, le PA 22 Tripacer135 ! qui correspond à la description et à l’époque de l’aventure.
D’après l’auteur ( c’est un 4 places, monomoteur, servant à pulvériser des insecticides sur les culture.
James Griffith : Compagnon de guerre de Bob Morane.
Fait du traitement aérien agricole à Port au Prince. Aide Morane à s'échapper de Port au prince et le conduit dans le nord.
Revient le prévenir de la mort de Prospero.

Résumé :
Bob Morane a le don d'attirer la foudre partout où il passe.
Arrivé en touriste dans la république d’Haïti, notre héros, toujours ami du droit et de la justice se voit mêlé involontairement à des conjurés qui ont pour but de renverser le dictateur Prospero.
Le complot se noue dans l'atmosphère mystérieuse de la patrie du vaudou.
Prospero sera sur le point de triompher quand des alliés imprévus surgiront pour venir délivrer les conjurés assiégés dans une vieille forteresse.
  Résumé complet

Au fil du roman !

Pages 87 :
Après avoir été mené au Cap haïtien, Morane devais être, sans qu’on lui eut demandé son avis, ni fourni la moindre explication suplémentaire,  embarqué dans un avion militaire, un vieux Junker, qui avait aussitôt pris l’air en direction de Port-au-Prince
, pour ètre emmené au Palais présidenciel du dictateur '' David Prospero '' 

                                                                                                  


Page 101 :

Avion pour pulvériser les insecticides sur les plantations.

Page 113 :

C’était un petit engin de tourisme pouvant transporter quatre personnes et que Morane jugea en connaisseur .

Pendant que Bob endossait le parachute, Griffith allait enlever les calles, puis tout deux grimpèrent à bord .

L’Anglais pris les commandes et demanda, se tournant vers son compagnon :

‘’ Prêt bob comme au bon vieux temps ‘’ 

Griffith mis le contact, abaissa la manette des gaz et les moteurs tournèrent.

Ensuite l’appareil se mis à rouler lentement le long de la plage.

Le nez au vent, il pris de la vitesse et quitta le sol.

Son pilote lui fit prendre un peu d’altitude, puis opéra un large virage au dessus de la baie, pour lui faire prendre la direction du Nord.

‘’ dans une heure environ nous arriverons au- dessus de «  Damballah »

Page 114 :

Le petit avion de tourisme, bondissant par-dessus les crêtes des montagnes dominant Port-au-Prince, se dirigeait maintenant plein Nord.

                                                                           


Page 115 :

Griffith avait fait perdre de l’altitude à l’appareil.

Du doigt il désigna des formes mouvantes qui, éclairées par l’incendie, évoluaient tout autour de

« Damballah »

Page 117 :

Il ouvrit le cockpit et se propulsa au-dehors.

Aussitôt il se mis à tomber comme un pierre, en direction du champ.

Le parachute se déploya dés que Bob tira la poignée d’ouverture, et il toucha terre parmi les hautes cannes.

                                              


Page 140-141 :

Là-bas un avion….

Il désignait un point du ciel, en direction du Sud, ou une petite silhouette noire qui grossissait rapidement venait d’apparaitre.

L’appareil se rapprochait toujours, il n’était plus qu’à un kilomètre de la citadelle, quand bob constata qu’il ne s’agissait pas d’un avion militaire.

Ce n’était ni un chasseur, ni un bombardier léger mais plutôt un appareil civil, dans lequel Morane reconnut bientôt l’avion de Griffith qui la nuit précédente l’avait parachuté à proximité de « Damballah »

Déjà, l’avion arrivait au dessus de la forteresse . 
Il vira sur l’aile, longea la terrasse et, à travers le plexiglas du cockpit, Bob distingua le large visage souriant de Griffith.

                                                                             
                     Haïti, le palais présidendiel à Port-aux-Prince qui fut détruit par deux fois : le 19 décembre 1869 et le 8 août 1912.
Après avoir été mené au Cap haïtien, Morane devais être, sans qu’on lui eut demandé son avis, ni fourni la moindre explication suplémentaire,  embarqué dans un avion militaire, un vieux Junker, qui avait aussitôt pris l’air en direction de Port-au-Prince, pour ètre emmené au Palais présidenciel du dictateur '' David Prospero '' 


Piper Aircraft Compagnie, PA 22 Tripacer :
Mais pour le PA-18 il  n'y a peut-être aucun autre de sa catégorie qui à pu le surpasser en termes de polyvalence et sa popularité.
Parmi les nombreux avions de tourisme conçus par la société américaine Piper Aircraft Company, le PA 22 Tripacer commercialisé en 1951, connut un succès tel qu'au début des années 60 où cessa sa construction, plus de 7600 appareils avaient été fabriqués.

Ce petit bipale, monoplan à aile haute haubanée, diffère de ses prédécesseurs par une motorisation plus puissante et un train tricycle à roulette de nez orientable. Par ailleurs, le gouvernail et les ailerons sont couplés.
Le pilote peut ainsi engager des virages en agissant sur le seul manche en forme de volant, ce qui améliore le confort du pilotage.

Le Tripacer fut acquis pour les besoins des unités stationnés en Afrique occidentale et qui désiraient un appareil robuste adapté aux vols en zone désertique et aux terrains de fortune. Il fut affecté au 1er GALTOM (Groupement d'Avions Légers des Troupes d'Outre Mer) stationné initialement à Dakar. Jusqu'à sa dissolution en 1974, le Tripacer opéra dans tout l'ouest africain, particulièrement au Sénégal, en Mauritanie et au Tchad où il effectua les missions les plus variées tant pacifiques opérationnelles.
Le PA-22 Tripacer : Petit avion de tourisme souvent piloter par
Bob Morane.
1951, Piper a présenté son Piper PA-22 Tri-Pacer, essentiellement une version du PA-20 Pacer avec le train d'atterrissage tricycle qui intègre un train avant orientable.
                                                  

Il diffère également de l'AP-20 en ayant initialement une plate-quatre moteur 150-hpAvco Lycoming 0-320 , et présente un aileron et interconnectés palonnier système de contrôle, permettant à la Tri-Pacer à être effectuées entièrement par le manche sans la nécessité d'avoir un apport de la pédales de direction au cours de virages.
Ce système a été débranché facilement, cependant, pour permettre l'utilisation indépendante des ailerons, de profondeur et de direction. Le Tri-Pacer avéré un modèle très populaire.
L'un des plus réussis Piper Aircraft des années 1950, le PA-22 aux pilotes les avantages d'un train d'atterrissage tricycle.
Lorsque la production a pris fin au début des années 1960, un total de 7668 ont été construites.
Ce chiffre comprend un nombre d'un peu plus austère avec la version 150 ch du moteur qui ont été commercialisées pour exploitant d'aéroport et utilisation aéro-club sous le nom de Piper Caraïbes.  
Le Piper Pacer fut originellement dessiné avec un train classique, ce qui diminuait la visibilité vers l’avant au décollage. Pour permettre une plus grande sécurité, en 1953 (juste avant que notre histoires soit publiée) le PA-20 fut redessiné avec un train tricycle, et fur redésigne PA-22. En plus, le moteur fut porté à 150 ou 160 CV alors que le moteur d’origine avait 113 CV. Le train tricycle se montra si populaire que le taux de  train tricycle/conventionnel fut de six pour un.
Plus de 8000 Tri-Pacers furent produits entre 1953 et 1960. En 2006 plus de 2000 sont toujours en service.

                                                  

Caractéristiques : PA 22 Tripacer :

Catégorie :  avion léger de liaison 
Constructeur :  Piper Aircraft Company (USA) 
Fabrication :  1951 
Nombre de places :  4 
Motorisation :  moteur Lycoming 0320 ou 0320 B 
Propulsion :  hélice bipale 
Puissance :  150 ou 160 Cv (320 B) à 2700 t/mn 
Carburant :  essence 80/87 
Consommation :  35 litres/heure 
                                                                                                
Vitesse maximale :  223 km/h 
Vitesse de croisière :  195 km/h 
Plafond :  4800 m
Autonomie :  3 h 00 mn 
Poids à vide :  500 kg 
Poids maximal :  900 kg 
Charge :  350 kg 
Dimensions :  H= 2,54 m ; L= 6,27 m ; l=0,90 m 
Envergure :  8,93 m 
Le PA-22 est approuvée pour les roues, skis, flotteurs et aussi pour la pulvérisation des cultures.

Junkers Ju 52 :
Conçu en tant qu'avion de transport, le Junkers 52, qui effectua son vol initial en octobre 1930, avec un moteur en ligne Junkers L-88 de 800 ch, se caractérisait par un train d'atterrissage fixe, une voilure basse monoplan.
Seuls 6 exemplaires du Ju 52 furent construits, avant que la version Ju 52/3m n'entrât a service, en avril 1932, avec trois moteurs en étoile Pratt & Whitney Hornet (BMW 132) de 525 ch.
Le Junkers Ju 52 (surnommé Tante Ju en allemand, Iron Annie par les Anglais), était un avion de transport en tôle ondulée fabriqué par la firme allemande Junkers à partir des années 1930. Construit à plus de 4800 exemplaires, il a été utilisé par de nombreuses compagnies aériennes, mais aussi comme avion de transport militaire et bombardier pendant la Seconde Guerre mondiale. Preuve de sa robustesse, trois exemplaires du Junkers Ju 52 ont été utilisés par la compagnie Swiss Air jusque dans les années 1980.
A l'origine conçu comme un avion de transport civil monomoteur, le premier Junkers Ju 52 fait son vol inaugural en septembre 1930.
Sa structure en tôle ondulée lui apporte alors une robustesse inédite pour l'époque, mais l'avion est clairement sous-motorisé.
Aussi, dès avril 1931, le septième exemplaire du Ju 52 reçoit 2 moteurs supplémentaires sur les ailes, et dispose alors de 3 Pratt & Whitney Hornet de 550 chevaux. Capable de transporter 17 passagers, le Junkers Ju 52 entre en service en 1932 dans la Lufthansa et fait rapidement l'objet de commandes d'autres compagnies aériennes.
La Luftwaffe manifeste vite son intérêt pour le Junkers Ju 52, qu'elle destine à la fois au transport militaire (de matériel ou de parachutistes) et au bombardement.
Bien que l'avion ait été utilisé largement pendant la Seconde Guerre mondiale, sa faible vitesse et son armement très limité ne lui laissait que peu de chance face à des avions ennemis, ce qui explique en partie le nombre élevé d'exemplaires perdus pendant le conflit.
La capacité du Junkers Ju 52 à opérer à partir de pistes courtes et sommairement aménagées était fort appréciée.

                                            

Caractéristiques : Junkers Ju 52 :

Constructeur : Junkers

Rôle :  Avion de transport

Mise en service : 1932

Date de retrait 1982

Nombre construit : 4 850

Équipage : 2 pilotes, 1 opérateur radio

Motorisation : Moteur BMW 132T _ Nombre 3 _ Type 9 cylindres en étoile refroidis par air

Puissance unitaire : 715 ch

Envergure : 29,25 m

Longueur : 18,90 m

                                                                                                

Hauteur : 4,50 m

Surface alaire : 110,50 m²

Masses : À vide 6 510 kg

Masses : Avec armement 9 200 kg

Masses : Maximale 10 990 kg

Performances : Vitesse maximale 265 km/h

Plafond : 5 490 m

Rayon d'action 870 km

Armement : Interne 18 soldats ou parachutistes, ou 12 blessés sur civières
Armement : Externe 1 MG 131 de 13 mm en position dorsale et 2 MG 15 de 7,92 mm latérales

Junkers Ju 60 ou 160 :
Effectue son premier vol en 1932, était un monomoteur, avion à ailes surbaissées dans la même classe que l'avion de ligne à grande vitesse Orion Lockheed.
Seuls deux 60s Ju ont été construits, mais en 1934 une version améliorée, le Ju 160, fait son apparition.
Quarante-huit 160S Ju ont été construits, mis en ligne auprès de Lufthansa au cours de 1935-36. Ainsi que d'exploitation sur les lignes intérieures, le 160S Ju a également volé sur le Breslau-Prague-Munich.
La plupart ont été réquisitionnés par la Luftwaffe sur le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale et ont été largement utilisés pour les communications et la formation.

                                                                                             

Caractéristiques : Junkers Ju 60 ou 160 :

Performance : max s 340km/ h

Envergure : 14.32m

Longueur : 12.00m

Hauteur : 3.92m

Poids : 3450kg

           Junkers JU 60, qui a effectué son premier vol en 1932, était un avion monomoteur à ailes surbaissées.

Equipage : 2

Passagers : Charge utile: six passagers

Motorisation : un 448kW (600hp) Hornet BMW

Performance moteur en étoile : vitesse maxi 340 KMh

Plafond de service : 5200m

                                                                               
 
 Citadelle du Roi Henri Christophe                       Palais Présidentiel à Port-au-Prince
Vue satellite
sur Google Earth  de la Citadelle du Roi Henri Christophe '' et du Palais présidentiel à Port-au-Prince à ''  Haïti ''

Un peu d’histoire

Un lieu symbolique ou se sont réfugiés Gérard Napoléon et ses partisans, ainsi que Bob Morane.

La Citadelle du Roi Henri Christophe ( Citadelle La Ferrière de Millot ) est un haut lieu de l’histoire des Caraïbes !

La Citadelle La Ferrière de Millot, construite par Henri Christophe à 900 mètres d'altitude, est la plus grande forteresse des Caraïbes.

Elle se trouve à 15 km au Sud de Cap Haïtien, dans le nord du pays.

Elle a été construite après l'indépendance en 1804 pour défendre la partie nord de l'île d'Haïti contre un éventuel retour des français. 20 000 personnes participèrent aux travaux de construction qui durèrent quatorze années. Il est à noter que 2000 de ces esclaves périrent au cours de la construction.

                                                                           

Ce "sang mélangé au mortier de l'édifice" est la cause de la solidité de la Citadelle, selon les guides touristiques Haïtiens.

L'ensemble des bâtiments furent en partie détruits par le tremblement de terre de 1842.

Des travaux de reconstruction ont permis une certaine réparation de cette merveille du monde.

Une plaque a été déposée vers 1990 pour rappeler aux Haïtiens visitant ce lieu que le roi Henri Ier, qui s'était suicidé le 8 novembre 1820 au palais de Sans-Souci, a été enterré en sa Citadelle.

Ce lieu a une valeur patriotique importante aux yeux des Haïtiens.

Le Parc national historique - Citadelle, Sans-Souci, Ramiers est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Classée la 8ème merveille du monde d'après les touristes venus du monde entier.

                                                                            

Henri Christophe :

Henri Christophe 1767–Cap-Haïtien, 1820) est président puis roi d'Haïti sous le nom d'Henri Ier ou plus simplement de « roi Christophe ».

En 1806 il fut couronné par l'archevêque capucin Jean-Baptiste-Joseph Brelle

Sa titulature est : « Henri, par la grâce de Dieu et la Loi constitutionnelle de l'État Roi d'Haïti, Souverain des Îles de la Tortue, Gonâve, et autres îles adjacentes, Destructeur de la tyrannie, Régénérateur et bienfaiteur de la nation haïtienne, Créateur de ses institutiones morales, politiques et guerrières, Premier monarque couronné du Nouveau-Monde, Défenseur de la foi, Fondateur de l'ordre royal et militaire de Saint-Henri ».

Malgré ses efforts à promouvoir l'éducation et à codifier les lois (le « Code Henri »), Henri est un monarque peu populaire ; d'ailleurs, son royaume est constamment en conflit avec le sud républicain.

Il bâtit le Palais de Sans-Souci.

Vers la fin de son règne, l'opinion publique tourne décisivement contre lui à cause du « caporalisme agraire » qu'il promeut afin de développer l'économie de l'île.

Mais une mutinerie éclate en 1812 qu'il mata. Frappé d’une crise d’apoplexie le 15 août 1820, il en resta partiellement paralysé.

Attaqué par les insurgés, Henri se suicida en 7 octobre 1820 en se tirant une balle en argent dans le cœur, pendant une messe dans une église qu'il avait fait bâtir. Il fut inhumé dans la Citadelle La Ferrière.

Jean Pierre Boyer, le Président « sudiste » s'imposera par les armes et proclamera le rattachement du nord à la République d'Haïti le 26 octobre suivant.

Son fils adolescent fut pendu par les insurgés, sa femme et ses filles s'exilèrent en Italie.

Aimé Césaire fit de lui le héros d'une pièce de théâtre : La Tragédie du roi Christophe en 1963.
*MD =   photos montage Dan Kelbert  ) 

Source de la documentation avions 
( Wikipédia )

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